Pardonné et Sauvé

Beaucoup connaissent le récit de la crucifixion de Jésus, aujourd’hui, j’aimerai relever comment un meurtrier, un malfaiteur a été sauvé.

Tous le peuple et les dirigeants qui assistaient à cette mort atroce se moquaient et injuriaient cet homme sur la croix, Jésus, ils injuriaient un innocent et ne s’occupaient pas des deux meurtriers  de part et d’autre de Jésus. Luc 23 v 33 à 38

Lisez maintenant  dans Luc 23 ce qui s’est passé entre ces deux brigands :

39 Et l’un des malfaiteurs qui étaient pendus à la croix l’injuriait, disant : N’es-tu pas le Christ, toi ? Sauve-toi toi-même, et nous aussi.
40 Mais l’autre, répondant, le reprit, disant : Et tu ne crains pas Dieu, toi, car tu es sous la même condamnation ?
41 Et pour nous, ce n’est que justice ; car nous recevons ce que méritent les choses que nous avons commises : mais celui-ci n’a rien fait de mal.

42 Et il disait à Jésus : Souviens-toi de moi, Seigneur, quand tu viendras dans ton royaume.
43 Et Jésus lui dit : En vérité, je te dis : Aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis.

Le deuxième malfaiteur avait conscience qu’il allait mourir à cause de ses mauvaises actions, il dit clairement que c’est juste, parce qu’il a tué quelqu’un et il mérite ce châtiment. Il sait que Dieu est au-dessus de toute sa vie et il ne lui reproche rien, il comprend la justice divine et se soumet. Il prend la défense de cet homme à côté de lui, mais comment a-t-il pu voir en Jésus le Roi, alors qu’il voit de ses yeux un homme aussi faible que lui devant cette horrible mort ?

Ce qui est étonnant, c’est que ce meurtrier ait à ce moment la révélation que Jésus Christ  est vraiment Roi de ce royaume céleste et invisible  pour ses yeux. Il voit ce Jésus entrain d’agoniser, dans quelques heures cet homme va mourir.

Mais son cœur était repentant et Dieu lui a révélé que le sauveur était là juste à côté de lui, soufrant en silence les moqueries et d’atroces souffrances. Il n’y a que Dieu qui puisse révéler le salut et le pardon des péchés. Il s’adresse alors à Jésus devant la foule et les soldats et lui dit : « Souviens-toi de moi, Seigneur, quand tu viendras dans ton royaume. » Le cœur repentant peut saisir le salut par la foi, car c’est Dieu qui lui donne la foi, cet homme ne pouvait se racheter, il ne pouvait pas ressusciter celui qu’il a tué, il est venu au sauveur sans rien dans les mains, aucune œuvre bonne, rien que sa foi. Il n’a même pas fait une belle prière, il n’a pas donné d’argent, il n’a pas fait de belles promesses, rien…

Et Jésus lui répond : «  Aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis. »

Merveilleux sauveur, là sur cette croix, tu as accompli jusqu’au dernier souffle, ce pourquoi ton Père t’a envoyé !

Ce brigand est devenu chrétien, parce qu’il a eu la foi que Jésus est le Roi de ce royaume céleste, envoyé par le Père pour sauver tous les pêcheurs.

Et toi ! crois-tu que Jésus est le sauveur ? Crois-tu que maintenant en allant à lui tu seras sauvé de tes péchés, qu’ils seront instantanément effacés ?  Sans rien payer ?

Juste par son amour, imagine que c’est toi le brigand ! le pêcheur, le mauvais garçon, la mauvaise fille, approche toi de Jésus, il te dira : « Aujourd’hui tu es pardonné et sauvé, Je te donne une nouvelle vie »

Avançons dans la foi    Jean

Croire et Saisir

L’évangile nous enseigne comment croire et saisir la guérison. Nous trouvons dans l’évangile de Luc 8 v 4348 l’histoire d’une femme qui a saisi la guérison de son hémorragie.

« Une femme qui depuis douze ans souffrait continuellement d’hémorragies et qui avait dépensé en vain tout son argent chez les médecins, s’approcha de Jésus par derrière et toucha le bord de son vêtement. À cet instant précis elle s’arrêta de saigner. Jésus demanda « Qui m’a touché ? » Tout le monde le nia et Pierre dit : « Il y a tellement de monde autour de toi Maître… » Mais Jésus lui répondit : « Non, quelqu’un m’a touché volontairement, j’ai senti une force de guérison sortir de moi » Lorsque la femme comprit que Jésus savait la vérité, elle se mit à trembler et tombant à ses pieds lui expliqua pourquoi elle l’avait touché et lui dit qu’elle avait été guérie. « Ma fille lui dit-il, ta foi ta guérie. Va en paix. » Traduction Le Livre.

Ce fait relaté dans l’évangile, nous montre clairement que cette femme croyait que Jésus était capable de guérir mais plus encore, elle croyait que Jésus est la guérison, que la puissance de Dieu habite en Jésus, il est lui-même La GUÉRISON. Elle n’a rien demandé à Jésus, elle ne lui a pas dit : « Seigneur ! tu peux guérir alors guérit moi » Non, Jésus ne savait rien de cette femme qui le suivait avec ce grand besoin de guérison, c’est au moment où il a senti une puissance sortir de lui qu’il a compris que quelqu’un l’avait reçu. Nous pouvons croire à la guérison et ne pas l’expérimenter, cette femme l’a saisi par son acte de foi, elle était persuadé alors elle a avancé la main.

J’ai entendu le témoignage de Gertrude, une femme atteinte de sclérose en plaque depuis 15 ans, elle était paralysée et aveugle dans son lit d’hôpital, elle était croyante et était persuadée que Jésus est le même hier, aujourd’hui et pour toujours, sa foi était fondée sur les promesses de Dieu. Elle était à l’article de la mort.

Une chrétienne du nom de Béatrice, est venue prier pour les malades dans le pavillon des incurables, elle lui demanda : « Croyez-vous que Dieu peut vous guérir et voulez-vous que je prie pour vous ? »  Gertrude lui dit OUI !  et chaque soir elle venait prier pour sa guérison, mais Gertrude n’allait pas mieux, on lui donnait maintenant quelques heures à vivre. Un soir, Béatrice lui dit : « Croyez-vous encore que Dieu peut vous guérir, même maintenant ? »

 «  Réalisez-vous que c’est le dernier moment et qu’il faut que ce soit maintenant ou jamais ? »

Elle lui dit oui, je sais !

Béatrice  ajouta :

 «  Si je t’apporte un verre d’eau fraîche et que je le place à côté de ton lit, crois-tu que si tu le bois, il apaisera  ta soif ? »  oui !

Elle reprit encore :

 « Et maintenant, si je t’apporte un verre d’eau fraîche, que je le place au chevet de ton lit mais que tu ne le bois pas, crois-tu encore qu’il va apaiser ta soif ? Tu auras encore soif puisque tu ne l’as pas bu !

 Voilà ta position concernant la guérison.

Tu crois que Dieu peut  te guérir, mais il  te manque le contact de la foi. Il est indispensable que tu acceptes et que tu saisisses la guérison d’une façon définitive, exactement comme tu as accepté Christ comme ton Sauveur personnel.

«  Il y a beaucoup de pécheurs qui croient que Jésus est mort pour leurs péchés et qu’Il est ressuscité des morts, mais ils restent pécheurs parce qu’ils n’acceptent pas le salut pour eux-mêmes.

C’est là ce que tu fais avec la guérison. Tu crois que Dieu peut te guérir, mais il  est indispensable que tu saisisses la guérison maintenant, en ce moment précis.  Voilà ce qu’est la foi réelle. »

Béatrice lui demanda ensuite de lever les mains et de prier. Gertrude éleva son cœur vers Dieu et leva le seul doigt qu’elle pouvait encore remuer en disant au  Seigneur: « Seigneur, je prends ma guérison en cet instant, je la prends comme le verre d’eau. Je l’accepte, je crois. »

Gertrude fut guérie ce soir-là, Jésus lui apparut vers 3h du matin, il l’a guérit totalement et elle put de nouveau voir et marcher. Elle témoigna de ce miracle pendant 20 ans.

JeanAujourd’hui, approche-toi de Jésus et comprend la volonté de Dieu pour toi puis saisi ta guérison.

Avançons dans la foi,  Jean

L’Esprit de Vie

JeanAprès être né de nouveau je comprends ma nouvelle position,  le vieil homme est mort en Christ et je peux désormais vivre cette nouvelle vie en Jésus. Il est important de savoir et d’accepter ce que Dieu a fait pour nous. Nous trouvons cette déclaration merveilleuse dans  1 Corinthiens  1 v 30   « Or c’est par Dieu que vous êtes en Jésus Christ… »

Dieu notre père, nous a placé dans notre sauveur qui a accompli pour nous, le salut, la libération, la sanctification, la guérison… .et Satan voudrait tous les jours mettre le doute dans notre cœur quant à notre position. Jésus déclare :
« je suis le cep et vous êtes les sarments. » Il nous faut  donc juste rester à notre place. Nous avons été adopté en tant que fils et l’Esprit de Dieu habite en nous  *1.

Paul dans Romains 8 v1 et 2  affirme que :

  1. Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont dans le Christ Jésus ;
  2. car la loi de l’Esprit de vie qui est en Jésus-Christ, m’a affranchi de la loi du péché et de la mort 

OUI nous sommes dans son fils et Satan nous accusera de péché mais c’est maintenant de notre devoir de fils de refuser une condamnation pour laquelle Jésus est mort.

J’en viens maintenant à cette nouvelle vie; elle est déterminée par une nouvelle loi celle de l’Esprit de vie, de même que notre corps sans le souffle de vie est mort, Dieu a soufflé lors de la création en Adam un esprit de vie et il est devenu un être vivant. L’Esprit de vie de Jésus est pour nous une nouvelle loi de vie qui nous donne SA VIE.

Étant maintenant une nouvelle créature par son Esprit en moi, je laisse l’Esprit de vie agir en moi. Cette loi est caractérisée par tout ce qu’est Jésus lui-même : Sainteté, Amour, Force, Foi, Paix, Zèle, Santé, Guérison, Délivrance, Patience…………..

Jésus nous a affranchi de cette ancienne loi qui nous maintenait dans le péché et nous conduisait dans toutes les formes de mort,  par exemple l’impatience, la maladie, l’adultère, la jalousie, le vol, l’impureté, l’orgueil….  et finalement la mort. Désormais, cette nouvelle loi je peux l’accepter et la vivre sans restriction par la foi simple et enfantine, parce que tout simplement, elle a été accomplie par un autre que moi, une personne digne de confiance, le Fils de Dieu.

Par exemple: j’ai des mauvaises pensées ! Gloire à Dieu,2  avec ma bouche, je peux proclamer que l’Esprit de vie de Jésus m’a affranchi de ces mauvaises pensées, je ne suis plus obligé de leur obéir.

Si je suis malade ! L’esprit de vie de Jésus m’a libéré des conséquences de la loi du péché et son Esprit de Vie agit dans mon corps selon toutes ses promesses. (Il renouvelle mes forces comme celle de l’aigle).

Si je n’arrive pas à pardonner !  Je confesse que l’Esprit de Vie me donne une capacité jusqu’alors impossible, je suis libre de pardonner, je le crois et je  laisse agir cet Esprit de Vie.

Si j’ai mauvais caractère, je ne suis pas quelqu’un de paisible ! Alors je crois que je suis en Jésus et qu’il est, lui, cette paix que je désire tant, je suis libre de la puissance du péché et je le confesse avec ma bouche.

Ce ne sont pas des méthodes, mais l’application des vérités que nous trouvons dans la parole. En toutes choses la Vie de Jésus peut inonder ta vie, ton corps, ton esprit, ton âme, juste par la Foi, la confiance en lui. Reste donc dans cette position où le Père céleste t’a placé. EN JÉSUS.

Avançons dans la foi       Jean

Ce n’est que le vieil homme !

Ce n’est que le vieil homme !

Paul nous dit dans Romains 6 v 6 et 7 « Sachant que notre vieil homme a été crucifié avec lui, afin que la puissance du péché soit détruite, et que nous ne soyons plus asservis au péché Car celui qui est mort est affranchi du péché. »

Jésus n’est pas seulement mort pour le pardon de nos péchés, il est mort pour ensevelir avec lui dans la crucifixion la puissance qui nous tenait esclave. Le vieil homme, c’est cet homme naturel qui est mort à la croix. Paul utilise une autre analogie en disant dans Colossiens 2 v 11 « En lui vous avez été circoncis d’une circoncision sans la main humaine, en dépouillant le corps (puissance) des péchés de la chair ce qui est la circoncision de christ »

Là encore, Paul nous dit que la puissance du péché a été coupée de notre chair comme quand les juifs coupaient un petit bout de peau. Ici nous voyons que c’est uniquement l’acte de Christ. Et dans Colossiens 2 v 12 « Ayant été enseveli avec lui  par le baptême, en lui  aussi, vous êtes ressuscité par la foi… »

Paul utilise quatre termes : Crucifié, enseveli, mort et circoncis. Ceci veut dire pour nous qui croyons en Jésus-Christ, qu’à la croix Dieu nous a inclus dans son fils pour que la mort que Jésus a vécu s’étende à toute l’humanité, parce que Dieu voulait résoudre le problème de la nature humaine qui ne peut pas lutter et avoir la victoire contre le péché; il fallait donc que l’homme meurt, parce qu’un homme mort ne peut plus être tenté ni soumis au péché. Si nous insultons un mort, il ne réagira pas, si nous lui promettons tout l’or du monde, il ne sera pas tenté, il est libre.

C’est par la foi en cet acte de Dieu que l’on peut vivre cette mort accomplie il y a 2000 ans. Croyons que cela a été parfaitement accompli lors de la mort de Jésus. Dieu nous demande simplement avec foi de nous considérer comme des morts au péché « Vous aussi considérez-vous comme mort au péché*1 » Par cette confession, je déclare que le péché a été vaincu par Christ et je ne suis plus son esclave, je ne suis plus obligé de le servir « et que nous ne soyons plus asservis au péché. » Je suis donc maintenant libre de vivre pour Jésus ayant un nouveau maître, cet ancien maître a perdu tout droit sur moi, je suis libre de servir mon Seigneur. C’est là, la vie nouvelle et la promesse d’une vie pleine du fruit de la sainteté.*2

Il y a quelques années j’ai expérimenté cette vérité. Il y avait en moi un caractère très moqueur ce qui blessait souvent mes amis et ma famille, je le regrettais après coup, mais le mal était fait.

J’essayais de me corriger mais en vain, ceci a duré des années, puis un jour ou cela m’est devenu insupportable, j’étais désespéré, j’y pensais et cherchais la victoire ; ma femme s’est approchée de moi et avec son esprit bienveillant m’a dit : « mais Jean,  ce n’est que le vieil homme ! » Je l’ai regardé et tout d’un coup une lueur d’espoir m’a traversé et je me suis dit mais alors, le vieil homme, comment est-il vaincu ? Comment Dieu a-t-il traité mon problème ? C’est à ce moment que ces passages de la Parole se sont éclairés pour moi.

Je me suis considéré par la foi, comme mort à la moquerie et vivant pour Jésus. En cet instant la victoire a été instantanée, effectivement comme le dit la Parole, la puissance du péché a été détruite.

Mes frères et sœurs, aujourd’hui il est simple d’avoir la victoire parce que Dieu l’a depuis longtemps accompli. C’est par la FOI que l’on entre dans cette réalité.

Avançons dans la foi                         (Suite)     « Le Nouvel Homme »

Jean

 *1   Romains 6 v 11                    *2 Romains 6 v22

Victoire

« J’ai la volonté de faire le bien mais je ne parviens pas à l’accomplir » telle est la déclaration de l’apôtre Paul citée dans la lettre aux Romains chapitre 7 v 18

Combien parmi nous avons tristement fait cette confession de notre échec, après avoir cependant vécu une véritable nouvelle naissance ? Même un homme consacré à Dieu comme l’apôtre Paul, a été contraint de dire dans quel état il se trouvait. Et dans ce chapitre 7 des Romains nous voyons du verset  15 au verset 19 l’état de chaque chrétien confronté à la réalité d’une loi qui l’entraîne à pécher.

Cette loi décrite du verset 20 au verset 23 nous montre notre impuissance naturelle à vivre pour Jésus dans la sainteté, mais il y a une première déclaration au verset 20 qui nous libère d’une accusation venant de l’ennemi de nos âmes  «  ce n’est donc plus moi qui le fait, c’est le péché qui habite en moi. » Je ne veux pas et je le fais quand même, c’est cette loi de péché habitant en moi qui m’entraîne à faire des choses que je déteste ce n’est pas moi. Tel un alcoolique disant qu’il ne boira plus de tout son cœur et qui, tenté, retombe dans cet esclavage. « …Qui combat contre la loi de mon esprit et me rend captif de la loi du péché qui est dans mes membres » verset 23.

Telle la loi de la gravité qui entraîne tout corps vers le sol, cette loi se trouve dans mes membres me poussant vers le mal. Si je tiens une pomme dans ma main, la gravité agit sur cette pomme mais si moi, je m’y oppose par la force qui est dans ma main, cette pomme ne tombera pas.

 Il faudrait donc une autre loi spirituelle qui s’oppose à cette loi de péché. Tant que nous sommes sur cette terre la loi du péché ne peut pas être abolie parce que nous n’avons pas encore revêtu ce corps céleste, incorruptible, donné par notre sauveur. Mais il y a une autre loi qui nous a été donnée lors de notre conversion par l’Esprit de Dieu. Dieu a révélé à Paul le chemin de la victoire, nous le voyons après son cri de détresse « Misérable que je suis Qui me délivrera de ce fardeau de mort »

OUI mes amis, la parole de Dieu nous montre ce nouveau chemin de victoire au verset 25 Paul dit : « Gloire soit à Dieu par Jésus notre Seigneur »   Jésus lui-même est cette victoire, oui mais alors comment le vivre ? Par la FOI en LUI. Crois-le et tu le verras s’accomplir.

Cesse tes efforts pour accomplir la volonté de Dieu pour éradiquer le péché, pour aimer, pour pardonner, pour être patient………. La liste est tellement longue.

Il y avait un alcoolique et sa mère disait à un de mes amis « Regarde il est toujours saoul, dis-lui d’arrêter de boire, toi il t’écoutera… » et mon ami qui connaissait cette nouvelle loi de l’esprit de vie se tournant vers cet homme lié par l’alcool lui dit : «  Va et continue à boire » Cet homme parti et fut libéré du désir de boire. Il y avait aussi un chrétien, ancien dans une église qui ne pouvait malgré tous ses efforts se détacher du désir de fumer, il vint trouver un de ses frère dans la foi et confessant ce lien avec désespoir il attendait qu’on prie pour lui mais quelle ne fut pas sa surprise quand ce frère lui dit : « Va et fume ta cigarette avec plaisir » Miracle, ce fut la dernière. GLOIRE A JÉSUS LE SAUVEUR !!!

Avançons dans la foi

 Jean

L’Esprit Promis


La mission de Jésus-Christ est de sauver l’homme pêcheur et de le remplir de son Esprit Saint.

« Pourquoi Jésus-Christ a-t-Il vécu, est-Il mort sur la croix, a-t-Il été enseveli, est-Il allé prêcher aux morts qui étaient morts dans l’espérance de Sa venue, pour les emmener dans Sa propre gloire, Pourquoi est-Il ressuscité des morts, pourquoi est-Il finalement monté sur le trône de Dieu ?

 Il a fait tout cela dans un seul but : pour que Lui, Jésus-Christ, le Fils de Dieu, puisse avoir le droit de répandre le Saint-Esprit sur tout disciple de Jésus-Christ.

Répandre le Saint-Esprit est le point culminant, il a été atteint lorsqu’Il est monté sur le trône de Dieu, tout le reste aurait été sans valeur. La promesse faite par le Père à Jésus-Christ Lui-même fut accomplie par le Père. Christ, le Sauveur et le Rédempteur de l’Humanité, exerçant la Puissance de Dieu, a répandu d’en haut le Saint-Esprit sur Ses disciples. »   John Lake

Le don du Saint Esprit n’est pas une option pas plus que le salut, c’est une nécessité. Jésus dit : « Il vous est avantageux que je m’en aille » pour qu’Il puisse répandre d’en haut le Saint-Esprit promis.

Lisez cette promesse de l’évangile de LUC

8. Je vous dis que, bien qu’il ne se lève pas et ne lui en donne pas parce qu’il est son ami, pourtant, à cause de son importunité, il se lèvera et lui en donnera autant qu’il en a besoin.

9. Et moi, je vous dis : Demandez, et il vous sera donné ; cherchez, et vous trouverez; frapper à la porte, et il vous sera ouvert;

10. Car quiconque demande, reçoit; et celui qui cherche, trouve; et à celui qui frappe à la porte, il sera ouvert.

11. Or quel est le père d’entre vous à qui son fils demandera un pain et qui lui donnera une pierre ? ou aussi, s’il demande un poisson, lui donnera-t-il un serpent ?

12. Ou aussi, s’il demande un œuf, lui donnera-t-il un scorpion ?

13. Si donc vous qui êtes méchants, vous savez donner à vos enfants de bonnes choses, combien plus le Père qui est du ciel donnera l’Esprit Saint à ceux qui le lui demandent.

Luc 11 v 9-13

 

Mes amis, je veux vous encourager, comme Jésus lui-même l’a fait à demander, chercher et recevoir par la foi, l’Esprit Saint autant que votre cœur désire. Il est dit clairement que le Père donnera son Esprit à celui qui demande de son Esprit. Il ne donnera pas moins ni autre chose.

L’Esprit de Dieu possède la qualité divine de la foi, comment puis-je être rempli de foi sans son Esprit de Foi ? La foi déclenche l’action de Dieu, libère sa puissance. Nous avons besoin de fonctionner comme Dieu, de croire en lui plus qu’à nos faibles moyens, de nous laisser emporter par son fleuve sans essayer de contrôler là où il nous mène et ce qu’il veut faire. Son fleuve c’est son Esprit.

Toi qui es mauvais, tu sais donner de bonnes choses à tes enfants, eh bien lui, le Père parfait en amour sait mieux que toi, donner de bons dons à ses enfants.

Aujourd’hui commence à demander avec importunité, persévérance et crois qu’il est en ce moment en train d’accomplir sa propre promesse de te remplir, commence à le louer par la foi, persévère dans cette attitude. Il va se passer quelque chose quand tu vas croire à sa promesse. Ne mesure pas ce qui se passe, abandonne toi à sa promesse.

Avançons dans la foi             Jean

Les Béquilles

Il y avait un homme pieux, il était entrepreneur. Sa chère vieille épouse et lui vivaient sincèrement devant leur Dieu. Ils élevèrent un fils, mais jamais aucun garçon ne s’est autant égaré loin de Dieu que leur Charles. Ce garçon  se lançait toujours dans quelque affaire louche, la police venait, et leur disait : « Charles a fait ceci et cela. Il nous faut telle somme d’argent pour le sortir de ses difficultés. » La semaine suivante, un autre policier venait raconter autre chose, et cela ne s’arrêtait pas. Les deux pauvres vieux priaient et versaient toutes leurs larmes pour le salut de ce garçon.

Un jour que ce chrétien était assis dans son bureau, priant pour son fils et arrosant le plancher de ses larmes, il entendit la voix de Dieu lui dire : « Depuis combien de temps essayes-tu de sauver ton fils ? »

Il répondit : « Depuis longtemps, Seigneur ! » Le Seigneur dit : « Maintenant, quand tu auras fini d’agir par tes forces, j’agirai ! » Le vieil homme réfléchit et décida de ne plus porter le salut de son fils et voici ce qu’il fit.

La police vint et lui dit : « Charles a fait ceci et cela.

Il demanda :

– Qui est Charles ?
– Mais c’est votre fils !
– Non, je n’ai aucun fils qui s’appelle Charles !

Lorsque Dieu lui avait parlé, il s’était mis à genoux, et avait dit : « Seigneur, il n’est plus mon fils, je Te le donne jusqu’à ce qu’il soit sauvé. » Alors il répondit à la police : « Non, je n’ai pas de fils. » Ils le regardèrent  hochèrent la tête et lui envoyèrent un autre officier de police. Mais cela ne servait plus à rien de venir le voir. Ils crurent que le vieil homme était devenu fou.

Environ neuf mois passèrent. Un jour, un officier de police se présenta et dit : « Charles a sauté par-dessus un pont et s’est tué. » Ils voulaient que le vieil homme fasse draguer la rivière pour retrouver son corps. Mais le père leur dit : « Je n’ai pas de fils qui s’appelle Charles. Draguez la rivière si vous le voulez ! » Alors, ils draguèrent la rivière, mais le corps qu’ils retrouvèrent n’était pas celui de Charles. Trois mois passèrent encore. Un jour, l’un des employés dit au vieil homme : « Il y a un de vos amis qui vous attend dans le bureau. » Quand ce chrétien entra, il vit que c’était Charles son fils. Il était bien habillé, son visage était propre, tout indiquait qu’il avait en lui la lumière de Dieu. Son fils tomba à ses pieds, l’embrassa et lui demanda pardon. Puis il lui dit comment il avait été changé : « Il y a trois mois, j’ai été sauvé dans une réunion d’évangélisation, mais je ne voulais pas venir te voir tant que je ne pouvais pas venir en homme. »

Il en est ainsi non seulement quand vous priez pour les autres, mais aussi quand vous priez pour vous-mêmes. Certains parmi vous sont tellement préoccupés par leur maladie, ou leur difficulté, comme à des béquilles. Vous en êtes conscients en permanence, à tel point que Dieu ne peut pas l’enlever de vos mains ! Spirituellement, vous êtes dans la même situation que ce vieux chrétien. Il était tellement préoccupé de sauver son fils que c’était lui qui essayait de le faire par ses prières, au lieu de laisser Dieu agir.

Peut-être vous êtes tellement préoccupés par votre péché, vous ne cessez  de prier pour votre délivrance mais sans la foi, comme un homme qui a confiance à ses pauvres béquilles humaines, sa pauvre force, ses pauvres prières. Peut-être est-ce votre désobéissance ou votre maladie. Si vous voulez  être bénis, abandonnez-le à notre puissant sauveur*1, et ouvrez votre cœur pour le recevoir en cet instant !

*Luc 1 v 6971

« Dieu nous a suscité un puissant sauveur…..qui nous délivre de nos ennemis »

 

Fils et Serviteur

Luc 12 versets 35 à 38

La parole de Dieu nous dit clairement que Jésus le fils de Dieu est venu afin que nous soyons réconciliés avec Dieu. Nous étions des fils perdus et maintenant son Esprit Saint atteste en nous que nous sommes fils « je monte vers mon père et votre père »  « afin que vous soyez fils de votre père qui est dans les cieux »

Semeur et arroseur

Comme Jésus lui-même est le fils de Dieu, il est le serviteur que le  père a choisi pour accomplir ses œuvres de délivrance, de guérison et de salut. « Voici mon serviteur que j’ai choisi »

Dans Luc 12, Jésus nous montre que nous sommes comme Lui, des serviteurs de Dieu,  « Soyez comme des hommes qui attendent que leur Maître revienne… » Qui mieux que Lui, nous révèle notre identité, notre fonction dans son royaume. Nous sommes serviteurs du Dieu tout puissant, pas pour notre clocher, pas pour nos intérêts, pas pour notre ministère, mais pour le servir Lui et Son royaume. Il est même dit « autre est celui qui sème et autre est celui qui récolte ». Le maître distribue les tâches à chaque serviteur et Il attend de ses serviteurs qu’ils s’acquittent de leurs responsabilités. J’ai souvent entendu dans les assemblées «  Le serviteur de Dieu » nommant ainsi le pasteur ou le responsable de l’assemblée. Mes frères il n’y a pas qu’un seul serviteur de Dieu dans une assemblée, nous sommes tous choisis par notre Seigneur pour servir dans Son œuvre avec Lui, ce n’est pas notre œuvre, c’est Son champ et nous sommes ouvrier avec Lui dans Son champ, dans Sa moisson.

Champ de blé

Nous devons changer de pensée et nous placer comme des ouvriers responsables de la tâche que nous a laissée Jésus. Il veut te faire participer au salut du monde à l’exemple de ces disciples. Que te demande Jésus aujourd’hui ? Il a dit qu’Il nous montrerait le chemin sur lequel nous devons marcher. Il a un projet pour ta vie. Veux-tu Le servir dans les moindres détails ? Veux-tu Lui obéir par amour ?

Jésus revient, heureux les serviteurs se trouvant dans cette attitude de travailler avec persévérance et avec l’attente de son prochain retour. Que fera-t-il à son retour ? Il te verra, son visage va s’illuminer de joie de te voir dans Son royaume et  Il dira, assieds toi à table, toi bon et fidèle serviteur et Il te servira. Oui , le seigneur va  te servir. Comme tu l’as fait pour les autres, Il le fera pour toi. Jésus nous montre la nouvelle nature des enfants de Dieu, des serviteurs.

Chasse de ton cœur tout mépris de toi-même, avance par la foi, il est dit « lève-toi, sois illuminé … la gloire de l’Éternel s’est levée sur toi ». En commençant à marcher avec la force que tu as, avec la révélation que le Saint Esprit a mise dans ton cœur, tu vas voir l’œuvre que le Seigneur va accomplir par tes mains.

Avançons dans la foi

Jean

Tout Ce Que Vous Demanderez !

C’est pourquoi je vous dis : Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous le recevez, et il vous sera accordé. Marc 11 verset 24

Jésus leur dit: Qui sera celui d’entre vous qui, ayant un ami, aille à lui sur le minuit, et lui dise : Ami, prête-moi trois pains, car mon ami est arrivé de voyage chez moi, et je n’ai rien à lui présenter,

et celui qui est dans la maison, répondant, dira : Ne m’importune pas ; la porte est déjà fermée, et mes enfants sont au lit avec moi ; je ne puis me lever et t’en donner. Je vous dis que, bien qu’il ne se lève pas et ne lui en donne pas parce qu’il est son ami, pourtant, à cause de son importunité, il se lèvera et lui en donnera autant qu’il en a besoin. Luc 11 versets 5 à 8

Une des questions qui souvent fait un obstacle dans nos prières est celle-ci :

 Est-ce-que c’est la volonté de Dieu ?

Jean nous répond par cet encouragement :Jean

Et c’est ici la confiance que nous avons en lui, que si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute ; et si nous savons qu’il nous écoute, quoi que ce soit que nous demandions, nous savons que nous avons reçu les choses que nous lui avons demandées. 1 Jean 5 -14 et 15

La foi nous est donnée dans notre relation avec Jésus. L’apôtre Jean dit «  si tu sais qu’il t’écoute » nous sommes devant Dieu pour un sujet qui nous tient à cœur, nous attendons dans la prière et là dans cette dépendance survient la foi qu’il nous a entendu et que nous possédons alors la chose désirée.

Jésus dit : Demandez, et il vous sera donné ; cherchez, et vous trouverez ; heurtez, et il vous sera ouvert ; car quiconque demande, reçoit ; et celui qui cherche, trouve ; et à celui qui heurte, il sera ouvert. Luc 11 versets 9 et 10

Demandons avec importunité et attente, jusqu’à ce que cette conviction pénètre dans notre cœur que nous avons obtenu. Si j’ai un ami et que je frappe à sa porte pour un service, il peut me dire une première fois, non et puis une deuxième fois, non, mais je sais que c’est mon ami et il le sait aussi puis finalement il cédera. Approchons nous de Notre Père de cette manière, il aime cette attitude qui démontre une certaine foi et c’est cela qu’il recherche en nous.

Jésus dit : « tout ce que vous demanderez »

Ce petit mot, « Tout » ne met aucune limite à nos demandes « Autant qu’il en a besoin » veut dire que Dieu n’est pas économe ni avare, sa générosité est sans limite. Jean dit : « quoi que ce soit »  il n’y a encore là aucune limite.

Au moment où la réponse de Dieu vient dans mon cœur, une joie me remplit et la paix que la chose est accomplie fait place à la demande. Je n’ai plus besoin de demander, j’ai reçu.

Avançons dans la foi

Jean

Le Regard De La Foi

JeanEvangile de Jean Chapitre 4 versets 35 à 38

Jésus se tournant vers ses disciples leur dit : « Ne dites pas qu’il y a encore 4 mois jusqu’à la moisson » Certainement les apôtres se disaient en regardant les champs de blé dans quelques mois se sera le temps de la moisson  parce que c’est cela qu’ils voyaient avec leurs yeux dans le domaine naturel puis il leur dit : « Levez vos  yeux et regardez les campagnes qui blanchissent déjà pour la moisson »  est-ce que Jésus s’intéressait à ce moment-là au temps de la récolte? Je ne crois pas !

Mais quelle vision Jésus voulait-il communiquer à ses disciples ? Je crois que Jésus communiquait sa vision de l’évangélisation du monde. Comment voir l’œuvre de Dieu autour de nous, là où nous sommes. Dans notre travail, dans notre famille partout où nous sommes. Voyons-nous les gens autour de nous trop éloignés des choses de Dieu ? Trop indifférents ? Trop incrédules?  Trop matérialistes ?… Jésus nous dit : Lève les yeux et regarde avec la foi en l’action de Dieu.

As-tu prié pour quelqu’un ? Alors change ton regard en celui de Dieu, ne considère plus les apparences  négatives, l’indifférence, le rejet du salut, la moquerie, le regard hautain. Tout cela c’est ton œil qui le voit mais l’œuvre puissante du Saint Esprit, nous ne pouvons la voir que par la foi. Elle est cachée aux yeux du monde.

Quelqu’un dira « Je prie et rien ne change »  oui, car tu ne crois pas en l’œuvre de Dieu et il veut que ton regard soit plein de foi, regarde cette femme cet enfant ou cet homme pour qui tu pries comme un serviteur de Dieu accomplit. Commence à louer Dieu pour son œuvre. Entre dans le ciel et réjouis-toi dans l’invisible.

Moïse regardait  à travers celui qui est invisible, il voyait Dieu  et il ne craint pas  la menace de pharaon*1  et il plut à Dieu.

Une femme avait une jeune fille qui était tombée dans l’immoralité, elle avait sans cesse de nouvelles aventures avec des hommes différents et sa mère la voyait comme une prostitué, effectivement avec ses yeux elle ne pouvait voir que des faits accablants. Elle priait mais sa fille ne changeait pas. Un jour elle comprit que son regard n’était pas du tout celui de Dieu, mais son regard était destructeur et sans foi. Cette mère chrétienne a décidé de voir dans l’invisible dans la foi au tout puissant sauveur.

Cette jeune fille, un jour, sortant d’un hôtel, décida de mettre fin à sa vie, tellement dégoûtée de ce qu’elle vivait, mais auparavant se dit-elle, je vais aller voir ma mère pour la dernière fois. Elle alla frapper à la porte, lui ouvrant sa mère s’écria soudain « oh ma fille, je suis si contente de te voir, viens et entre chez toi » et l’embrassant de tout son cœur, lui communiqua non pas l’incrédulité mais la foi de son cœur. Elle lui prodigua son amour et sa foi sans essayer de la changer, peu de temps après, cette jeune femme laissa sa mauvaise vie, devint chrétienne, se maria et fonda une merveilleuse famille.

D’où est venu se changement radical ?  Du regard de la foi !

Avançons dans la foi

*1    Hébreux 11- 27

 Jean

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