Je suis juste devant Dieu !

Nous méditerons sur ce passage des écritures de   1 Corinthiens 1 versets 30-31

Or, c’est par lui que vous êtes en Jésus Christ, lequel, de par Dieu, a été fait pour nous sagesse, justice et sanctification et rédemption, afin, comme il est écrit, que celui qui se glorifie se glorifie dans le Seigneur.

Cette révélation de l’apôtre Paul est de la plus haute importance dans notre relation avec le Seigneur.
Satan perd toute sa puissance d’accusation lorsque nous saisissons ce message.

Soyez fortifiés dans la foi en Jésus-Christ.

La voix de Dieu dans le cœur

Nous cherchons souvent la volonté de Dieu dans des signes extérieurs, dans l’approbation des hommes, par des prophéties mais la parole nous dit que le Saint-Esprit habite dans l’homme né de nouveau. Et cette parole, cette direction et cette voix se situe principalement dans le cœur de l’enfant de Dieu.

Le psaume 84 au verset 6 déclare : Heureux ceux qui placent en Toi leur appui ! Ils trouvent dans leur cœur des chemins tout tracés.

Et Paul nous dit dans 1 Corinthiens 6 verset 19 : Ne savez vous pas que votre corps est le Temple du Saint Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu….

Ecoutons cette méditation et soyons assurés que le Saint-Esprit nous parle dans notre cœur et qu’il confirmera si besoin par la prophétie ou une parole biblique ou par des rêves …

Bonne écoute
Jean IRION

Un amour sans limites

Dans cette histoire vécue par le peuple d’Israël, nous pourrons comprendre que, lors même que nous échouons dans l’épreuve, l’amour du Père se manifeste avec fidélité. Il y avait à cet endroit même un plan de salut de la part du Père. JÉSUS, le rocher, était là donnant l’eau de la vie. Il n’y a pas de bornes à la grâce du Père pour notre salut.

 

Ecoutons dès maintenant ce partage.

Pour ceux qui voudraient approfondir la grâce du Père envers ses enfants voici quelques passages des écritures.

Exode 17:6
Voici, je me tiendrai devant toi sur le rocher d’Horeb; tu frapperas le rocher, et il en sortira de l’eau, et le peuple boira. Et Moïse fit ainsi, aux yeux des anciens d’Israël.

Exode 17:7
Il donna à ce lieu le nom de Massa et Meriba, parce que les enfants d’Israël avaient contesté, et parce qu’ils avaient tenté l’Éternel, en disant: L’Éternel est-il au milieu de nous, ou n’y est-il pas?

Massa :

Mot Hébreu : מַסָּה

  • Désespoir, test, tentation, épreuve 

Meriba :

Mot Hébreu : מְרִיבָה

  • Lutte, dispute, querelle, contestation 

 

Psaumes 95:8
N’endurcissez pas votre cœur, comme à Meriba, Comme à la journée de Massa, dans le désert,

Psaumes 95:11
Aussi je jurai dans ma colère : Ils n’entreront pas dans mon repos ! 

Hébreux 3:18-19   Et à qui jura-t-il qu’ils n’entreraient pas dans son repos, sinon à ceux qui avaient désobéi ? Aussi voyons-nous qu’ils ne purent y entrer à cause de leur incrédulité.

Hébreux 4:9-11
Il y a donc un repos de sabbat réservé au peuple de Dieu.
Car celui qui entre dans le repos de Dieu se repose de ses œuvres, comme Dieu s’est reposé des siennes.
Efforçons-nous donc d’entrer dans ce repos, afin que personne ne tombe en donnant le même exemple de désobéissance. 

Mont Horeb.

Image de Christ .
Tu frapperas le rocher, et il en sortira de l’eau

Romains 5:8-10 LSG
Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous.
Car si, lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils, à plus forte raison, étant réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie.

Psaumes 95:1
Venez, chantons avec allégresse à l’Éternel! Poussons des cris de joie vers le rocher de notre salut.

Psaumes 71:15
Ma bouche publiera ta justice, ton salut, chaque jour,
Car j’ignore quelles en sont les bornes. 

 

Sois attentif et ta paix sera comme un fleuve…

Dans ce passage d’Ésaïe que nous méditerons:

Le cœur de Dieu s’exprime par ce cri plein d’amour : Oh si tu étais attentif !
Alors ta paix (Ton Shalom) serait comme un fleuve.
Nous méditerons ce que veut dire Ta paix (ton Shalom), quels sont toutes les définitions qui sont contenues dans ce mot hébreu.
Quelles implications cela engendre de vivre dans l’obéissance à la voix de l’Esprit de Dieu.
Nous méditerons aussi ce qu’est le bonheur (Tsadaq)
Bonne écoute et soyez fortifiés.

Jean IRION

Ésaïe 48:17-19 NEG79

[17] Ainsi parle l’Eternel, ton rédempteur, le Saint d’Israël : Moi, l’Eternel, ton Dieu, je t’instruis pour ton bien, Je te conduis dans la voie que tu dois suivre. [18] Oh ! si tu étais attentif à mes commandements ! Ton bien-être serait comme un fleuve, Et ton bonheur comme les flots de la mer ; [19] Ta postérité serait comme le sable, Et les fruits de tes entrailles comme les grains de sable ; Ton nom ne serait point effacé, anéanti devant moi. 

Paix : Shalom

Etat complet et de perfection de bien-être et de paix :

  • Pour mon corps, la bonne santé
  • Pour mon âme, la quiétude le contentement, plus de craintes
  • Dans mes amitiés et mes relations humaines.
  • Dans ma relation avec Dieu, cet état de la faveur de Dieu sur moi.
  • En temps de guerre, sans crainte au milieu des difficultés.
  • Attitude intérieur de paix en toutes circonstances
  • Dans la prospérité à tous égards.

Bonheur : Tsadaq

Etat durable de plénitude et de satisfaction,
Etat agréable et équilibré de l’esprit et du corps et de quiétude où les troubles sont absents.
Etat où l’on a été :

  • Rendu juste devant Dieu, sauvé, purifié, délivré
  • Pardonné, sous la miséricorde, innocent,
  • Jugé intègre droit

 

Proverbes 3 1-2

Mon fils, n’oublie pas mes enseignements, Et que ton cœur garde mes préceptes ;
Car ils prolongeront les jours et les années de ta vie, Et ils augmenteront ta paix. 

Proverbes 4:20-23

Mon fils, sois attentif à mes paroles, Prête l’oreille à mes discours. Qu’ils ne s’éloignent pas de tes yeux ;
Garde-les dans le fond de ton cœur ; Car c’est la vie pour ceux qui les trouvent,
C’est la santé pour tout leur corps.
Garde ton cœur plus que toute autre chose, Car de lui viennent les sources de la vie.

 

Composition de Thierry BIJOUX sur Esaïe 48:

Les noms de Dieu dans les Psaumes

Dans les psaumes le roi David nous livre sa connaissance de Dieu. Tout au long de sa vie il a expérimenté que Dieu est sa délivrance, une tour forte, son asile et bien d’autres noms que nous allons découvrir.

Expérimenter ces noms dans nos épreuves nous permettra de garder une espérance ferme.

Quelqu’un a dit : Dieu n’enlève pas les montagnes, il nous fait passer par-dessus.

Apprenons donc de cette relation qu’avait David avec Dieu.

Soyez encouragés.

Jean IRION

Le secret de la victoire, « Revêtir le nouvel homme »

Combien de véritables enfants de Dieu se découragent dans leur désir de sanctification ! C’est une réalité et il faut bien l’avouer !

Après être tombé bien des fois dans le péché et la désobéissance je me suis penché sur l’enseignement de Paul dans les épitres et j’y ai découvert la délivrance.

Je vous propose de découvrir cette clé.

Jean IRION

Un arbre planté au bord du fleuve de l’Esprit.

Le Psaume 1 déclare que :

« Je suis comme un arbre planté près d’un courant d’eau »

Comment être planté près de ce fleuve et qui est ce fleuve ?

Que produit ce fleuve en nous ?

Nous méditerons que ce fleuve était déjà en Eden et nous le retrouvons dans la Jérusalem céleste. Nous pouvons déjà vivre aujourd’hui au bord de ce fleuve.

Soyez encouragés dans la foi et vivez dans la foi que cela est possible maintenant.

Jean IRION

Participant de la nature divine

L’évangéliste A.A. Allen nous livre ici une des conditions du Seigneur pour le déversement de la puissance des miracles qui coulera à travers le disciple.

Allen a recherché la parole de Dieu pour lui avec ferveur jusqu’à ce que le Seigneur lui parle en lui montrant ce qui en lui-même empêchait le déversement de la puissance de guérison et de délivrance dans ses réunions. Il nous livre ici un des secrets pour porter du fruit.

Des promesses extrêmement grandes et précieuses nous ont été données, afin que vous puissiez, par elles, participer à Sa nature divine. I Pierre 1.4.

 

Dieu est la puissance. Il n’y a pas de pouvoir pour le bien dans ce monde, si ce n’est que ce pouvoir vient de Dieu. Le Christ lui-même, lorsqu’Il est venu dans ce monde en chair, a déclaré qu’Il tenait Son pouvoir de Dieu. « Je ne fais rien de moi-même ». Jean 8.28. Le Fils ne peut rien faire de lui-même. Jean 5.19. « Je suis dans le Père, et le Père est en moi. Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même, mais c’est le père qui habite en moi qui fait les œuvres ». Jean 14.10.

Après avoir fait la déclaration de Jean 14.10, Christ s’est tourné vers Ses disciples avec une promesse. En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi, les œuvres que je fais il fera aussi ; et des œuvres plus grandes, il fera plus que cela, parce que je vais à mon Père. Jean 14.12. Mais, de même que son propre travail et sa fécondité étaient conditionnés par sa demeure dans le Père, notre travail et notre fécondité seront conditionnés par notre demeure en lui. « Demeurez en moi, et moi en vous. De même que le sarment ne peut porter de fruit par lui-même, s’il ne demeure attaché au cep, vous non plus, si vous ne demeurez en moi. »

Jean. 15.4. « Sans moi, vous ne pouvez rien faire. » Jean. 15.5.

Le cep et les sarments.

Le sarment est participant de la nature de la vigne. La même sève y coule. La texture du bois est la même. Les feuilles sont les mêmes. Le fruit est le même. L’écorce est la même. Elle fait partie de la vigne ! Tant qu’il reste attaché à la vigne, il peut faire tout ce que la vigne peut faire. Mais chaque fois qu’il est séparé ou coupé du cep, il ne peut plus faire ce que le cep peut faire. La sève vivifiante cesse de couler à travers le sarment et il ne participe plus à la nature de la vigne. Car c’est la nature de la vigne de porter du fruit et que la branche coupée ne peut jamais rien faire d’elle-même. Les branches peuvent être coupées et elles peuvent être greffées. Nous, en tant que pécheurs sauvés par la grâce, sommes comparés dans la parole de Dieu aux branches d’un olivier sauvage, greffés. Après avoir été greffés, nous devenons participants de la « racine et de la graisse » de l’Olivier. Romains. 11.17.

Si une greffe est bien faite, de sorte que rien ne s’interpose et n’interfère avec l’écoulement de la sève dans la nouvelle branche, elle en vient très vite à être et agir comme les autres parties de l’arbre. Quel privilège d’être rendu participant de la nature divine de Dieu d’être de telle manière que ceux qui nous voient se rendent compte que nous sommes avec Jésus, et d’agir tellement comme Lui que les œuvres qu’Il a faites nous les faisons aussi !

C’est par la foi en ses promesses.

Nous ne pouvons être participants de cette nature divine que par Ses promesses, par la foi en Ses promesses. Nous participons à la nature divine dans son efficacité lorsque nous exerçons les dons de l’Esprit, et dans son essence lorsque nous montrons les fruits de l’Esprit. C’est dans l’exercice des dons de l’Esprit que Dieu manifeste à travers nous Sa puissance de miracle.

Ayant donc des dons différents, qu’il s’agisse de prophétie, alors prophétisons selon la proportion de la foi. Romains. 12.6. C’est le secret de tout travail que nous sommes capables de faire pour Dieu. Cela se fait selon la proportion de foi. Nous sommes participants de la nature divine selon la proportion de la foi. S’il y a peu de foi, la branche est à peine vivante, la sève passe à peine, quelques feuilles vertes promettent que des fruits pourraient venir. Plus de foi, alors plus de la nature divine et de fécondité. Beaucoup de foi, alors vie abondante, la vie de Dieu donnant la sève qui coule librement dans chaque partie de la branche, le poids du fruit l’inclinant presque jusqu’au sol !

La nature divine en nous.

Celui qui participe à la nature divine de Christ participera à Sa nature de douceur et d’humilité. L’amour et la compassion de la nature du Christ seront apparents dans toutes les activités et tous les contacts de sa vie quotidienne. La douceur et la gentillesse, la bonté, la longanimité et la paix. La joie dans le service, le renoncement (tempérance) tout cela fera partie de la vie de la personne qui participe à la nature divine. Ces choses ne faisaient peut-être pas partie de votre nature avant que Christ ne vienne habiter en vous, mais lorsque vous aurez participé à Sa nature, ces choses remplaceront les anciennes, c’était votre propre nature charnelle. Alors, quand vous participerez à Sa nature divine, il y aura une sagesse qui vient du fait de suivre la direction de l’Esprit. Pas la sagesse qui est purement naturelle, ni une sagesse acquise simplement par l’observation, mais une sagesse dirigée par l’Esprit qui est incompréhensible pour ceux qui ne comprennent pas la direction de l’Esprit. Il y aura des connaissances qui viendront à votre esprit à partir des connaissances qui viennent de l’Esprit de Dieu. Les choses que vous avez besoin de savoir, mais que vous n’avez pas d’autre moyen de savoir, Dieu lui-même le peut et vous les révélera. Il y aura de la puissance, car Dieu est puissance ! Des miracles et des signes suivront. Les malades seront guéris, les boiteux marcheront, les cancers disparaîtront sous votre commandement. Les aveugles verront, les sourds entendront. Les secrets du cœur des gens seront, si nécessaire, rendus manifestes. Les âmes seront réveillées du sommeil de la mort spirituelle et amenées comme de nouvelles créatures dans le royaume. Oui, même certains dont la vie physique a disparu peuvent être ramenés d’entre les morts, dans la volonté de Dieu.

Dieu n’a aucun favori. Le même prix du pouvoir s’applique à tous. Et le même pouvoir est disponible pour tous ceux qui en payeront le prix ! A tous ceux qui, par la foi, prendront pour eux-mêmes leurs « promesses extrêmement grandes et précieuses« , croyant de tout leur cœur ce que Dieu a signifié exactement comme il l’a dit, devenant ainsi participant de sa nature divine, la porte est ouverte à de nouvelles aventures de foi, au-delà de vos rêves les plus fous.

A.A. Allen

Offrez votre corps

L’évangéliste A.A. Allen nous livre ici une des conditions du Seigneur pour le déversement de la puissance des miracles qui coulera à travers le disciple.

Allen a recherché la parole de Dieu pour lui avec ferveur jusqu’à ce que le Seigneur lui parle en lui montrant ce qui en lui-même empêchait le déversement de la puissance de guérison et de délivrance dans ses réunions. Il nous livre ici un des secrets pour porter du fruit.

Offrez vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu.

Je vous exhorte donc, frères, par la miséricorde de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui est votre service raisonnable ». Romains 12.1.

Veux-tu que Dieu t’utilise ?

Dieu n’a jamais eu l’habitude d’utiliser des choses qui ne Lui appartiennent pas. Il utilise les choses qui Lui sont données. Les choses qui sont consacrées. Les choses qui sont sanctifiées, mises à part pour Son usage. Veux-tu que Dieu t’utilise ? Alors vous devez offrir votre corps. Il doit être complètement cédé et abandonné à Dieu. Un corps qui n’est pas complètement cédé et abandonné à Dieu est toujours plus ou moins dominé par Satan ou par lui-même. Il ne fait aucun doute que beaucoup ont, à des moments particuliers, présenté leur corps au Seigneur pour qu’Il s’en serve afin d’étendre les frontières de Son Royaume. Mais il est évident, du fait qu’ils ne sont pas utilisés, que beaucoup de ceux qui se sont présentés n’ont pas été acceptés. Dieu ne les a pas refusés parce qu’Il n’y a pas besoin d’ouvriers. Le Christ Lui-même nous a donné l’ordre de prier pour que davantage d’ouvriers soient envoyés, car « la récolte est mûre, mais les ouvriers sont peu nombreux ». Matthieu. 9.37.

Dieu ne les a pas refusés à cause de leurs handicaps, car Il a souvent utilisé ceux qui semblaient avoir peu de qualifications naturelles. Pierre et Jean, hommes très utilisés par Dieu, étaient « des hommes sans instruction et ignorants » Actes 4.13. Moïse était « lent à la parole ». « Peu de sages selon la chair, peu de nobles sont appelés ; mais Dieu a choisi les choses folles du monde pour confondre les sages ; et Dieu a choisi les choses faibles du monde pour confondre les choses puissantes ; et les choses viles du monde et méprisées… ». I Corinthiens. 1.27, 28. Vous pensez être handicapé ? Nous le sommes tous d’une manière ou d’une autre.

Un jeune homme avait été sauvé et souhaitait donner son témoignage lors d’une réunion dans la rue afin que d’autres puissent connaître la grâce incomparable de Dieu, mais il ne pouvait pas le faire à cause de son bégaiement. Cependant, son amour pour Dieu et son désir de travailler pour lui le poussèrent à s’agenouiller et à se présenter à nouveau devant les gens. Dieu entendit son cri et l’aida. Il devint un grand prédicateur de l’Évangile et pendant de nombreuses années, il fut chaque année l’orateur principal d’une grande réunion de camp à New York.

Pour être un sacrifice acceptable, votre corps n’a pas besoin d’être fort ou beau. David BRAINARD, grand missionnaire auprès des Indiens d’Amérique dans les premiers temps, fut déclaré mourant de la tuberculose. On l’avait prévenu que la seule chance pour lui de vivre plus de quelques semaines était le repos complet. Mais il apporta ce qu’il avait et fit un sacrifice acceptable. Il se prosterna devant Dieu en criant : « Donnez-moi des âmes ou prenez mon âme ! ». Puis il s’est relevé et a exercé pendant de nombreuses années un ministère fructueux parmi les personnes que Dieu avait mises sur son cœur et il en a gagné des milliers à Christ.

Un sacrifice acceptable.

La seule raison pour laquelle Dieu a refusé certaines personnes est qu’elles ne sont pas acceptables ! Dieu ne pose que deux conditions pour qu’un « sacrifice soit acceptable ».

Il doit être saint et il doit être à Lui. Ce qui n’est pas saint est une abomination pour Dieu. Un sacrifice apporté et offert à Dieu pour son service, qui est souillé par les habitudes et les péchés du monde, n’est pas plus acceptable pour Lui que le porc offert sur l’autel sacré du temple de Jérusalem par Antiochus Épiphane. Dieu ne l’acceptera pas. Ce qui est à Lui doit être à Lui non seulement le dimanche et le soir de la réunion de prière, mais sept jours et sept nuits chaque semaine. Il doit être présenté sans conditions. Il doit être donné avec le cri du cœur : « Je renonce à toute autorité sur ce don, maintenant et pour toujours. Il vous appartient de l’utiliser, de le mettre de côté ou de le détruire. Quoi que vous choisissiez d’en faire, il vous appartient. S’il s’agit seulement d’un ministère caché de prière et de témoignage personnel, oui Seigneur. Si c’est dans ma propre ville, c’est très bien. Si cela m’emmène loin au-delà de la mer, vers des terres étrangères et des peuples hostiles, si c’est pour mourir pour ma foi, aux mains de persécuteurs, ou pour vivre dans des conditions qui sont pires que la mort, oui ce corps est toujours le tien. Faites-en ce que vous voulez. Nourrissez-le ou affamez-le. Refroidissez-le dans le Grand Nord, ou laissez-le souffrir de la chaleur de l’Afrique. Exaltez-le ou humiliez-le. Il est tout à vous ».

Une consécration acceptable, c’est comme tendre à Dieu une feuille blanche, avec votre nom signé au bas de la feuille, et Lui dire : « Remplis-la comme tu veux. Ce sera mon contrat pour l’utilisation de ma vie entière ». Ce sacrifice ne se limite pas à dire oui ou non à certains appels ou à certaines demandes de l’Esprit de Dieu après qu’ils vous ont été donnés. C’est la détermination de tout cœur de faire la volonté de Dieu pour toute ma vie, quoi qu’il en soit et quel qu’en soit le prix. C’est la prise de conscience que vous ne vous appartenez pas. Vous pouvez trouver un peu de pouvoir et un peu de bénédiction lorsque vous avez fait un peu de sacrifice. Mais si vous voulez vraiment faire l’expérience du libre écoulement de la puissance de Dieu, vous devez présenter votre corps comme un sacrifice vivant, saint, admissible devant Dieu.

A.A. Allen

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