Vivre par l’Esprit – 1

Cette série de méditations de « Vivre par l’Esprit » est destinée à nous conduire dans cette nouvelle manière de vivre que le Saint-Esprit veut nous communiquer aujourd’hui.
Le peuple de Dieu est confronté à un problème récurrent qui mine son avancement dans la vie de  l’Esprit, chaque jour.

Dans la Genèse  chapitre 2 versets 8 et 9 Dieu dit : «… et l’Éternel Dieu fit germer du sol toutes sortes d’arbres… et l’arbre de vie au milieu du jardin et l’arbre de la connaissance du bien et du mal. »
Cet arbre de vie va donner la vie à celui qui en mange les fruits et c’est à cela qu’Adam et Eve étaient destinés, ils devaient vivre par les fruits de cet arbre.
L’autre arbre est celui qui donne la capacité de juger de ce qui est bien ou mal de ce qui est juste ou faux, mais Dieu ne voulait pas qu’ils en mangent, pourtant faire ce qui est bien est honorable.
Cette histoire est une représentation de deux principes de vie.
Les chrétiens sont naturellement poussés à vivre avec la conscience de choisir ce qui est juste et rejeter ce qui est mal. Satan veut les faire vivre dans ce principe.
Mais quand Dieu dit « Tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras… » Il dit explicitement que ce n’est pas le bon choix et que ce choix me mèneras à une mort certaine.

Agir selon les principes de la loi

Agir selon les principes de la loi  est élevé mais ne conduit pas à la vie, c’est vivre sous l’ancienne alliance.

Comment se fait-il que voulant faire le bien je n’y arrive pas ?

 Dieu a donné Jésus Christ comme arbre de vie « Si je vis ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi » Ce n’est plus la loi qui dirige mes choix,  ce n’est pas le commandement qui me donne la capacité de suivre Jésus, « Si la justice s’obtient par la loi, Christ est donc mort en vain »

Le test: c’est la vie divine en moi

La vie de Jésus en moi, cette vie intérieure est un test que je peux expérimenter : Si la vie en moi diminue cela veut dire que je n’agis pas dans l’Esprit, si j’entends un frère me parler et que cette vie en moi s’éteint cela ne vient pas de Dieu, si au contraire la vie s’intensifie en moi, je suis édifié, ses paroles ont un impact positif, alors c’est bien le Saint-Esprit qui me parle. Récemment, j’écoutais un prédicateur et plus ses paroles pénétraient en moi plus l’Esprit en moi se contristait, je n’avais rien à me reprocher, je ne vivais pas d’accusation mais la vie de Dieu diminuait. Extérieurement c’était biblique mais j’en souffrais, parce que derrière ces paroles, il y avait du jugement. C’est cette vie-là qui  désormais  me conduit, me renouvelle, me sanctifie, m’apprend à marcher avec lui. Ce n’est  plus ce qui me semble juste qui est mon conducteur, ce n’est pas un code moral, mais l’Esprit lui-même me parle et me conduit. C’est pour cela que Jean dit : « son onction vous enseigne toutes choses »

Paul dit dans Galates 3/10

 « Maudit quiconque n’observe pas tout ce qui est écrit dans le livre de la loi et ne le met pas en pratique ». Rendez-vous compte, que si  je cherche un moyen de suivre Jésus, d’être purifié, obéissant, plein de foi… hormis Jésus, je suis sous une malédiction, la malédiction de loi.

La loi est parfaite mais elle fait partie de l’ancienne alliance, elle n’est que le conducteur qui me mène au sauveur et au seul berger. L’alliance de Moïse a une fin, c’est la naissance du sauveur.

Donc le seul moyen de marcher avec Dieu c’est d’être conduit par l’Esprit, de  l’écouter et  de lui obéir.

Je  vais vous raconter une petite histoire qui je l’espère met en évidence ce principe de vie.

J’avais un vif désir d’aller en Algérie pour voir mes frères et les encourager, je priais donc à ce sujet pour connaitre la direction de Dieu et ceci pendant  plusieurs semaines, mais rien, aucune parole de Dieu pour moi, aucune prophétie, aucun rêve, aucun  signe… Un jour je lisais un livre du pasteur  Paul Yonggi CHO où il est dit « Vous n’êtes plus sous l’ancienne alliance mais sous la nouvelle,  l’esprit de Dieu habite en vous » cela m’a interpelé et j’ai compris que je ne priais pas de la bonne manière, j’attendais des signes extérieurs de confirmation alors que la vie de Dieu en moi était pleinement favorable à ce projet, la vie de Dieu en moi criait d’enthousiasme par rapport à cette direction. La vie est le signe de l’approbation divine. Mais moi, je cherchais si cela était « bien ». Je cherchais la volonté de Dieu dans les signes extérieurs. Je pris immédiatement ma voiture, je fis le visa, j’achetais le billet et parti en Algérie. Dans l’avion, alors que je dormais, c’est là que Dieu me parla pour m’encourager. Ce fut un voyage béni.

Satan cherche à maintenir les enfants de Dieu sous des lois pour les priver de victoire.

Avançons dans la foi.

Jean.

Au nom de Jésus lève-toi

Au nom de Jésus lève-toi !

Il y a quelques années de cela, j’étais avec des amis en train de restaurer ma maison, nous étions une dizaine de chrétiens et nous travaillions la journée dans la maçonnerie. Un matin j’ai voulu déplacer un meuble très lourd et j’ai eu un lumbago extrêmement douloureux, je ne pouvais plus bouger, mes frères m’ont porté dans un fauteuil. Je ne pouvais même plus regarder mes pieds tellement la douleur était forte et là nous avons commencé à prier mais il n’y avait pas beaucoup de foi en la puissance de Dieu et rien ne s’est passé. À ce moment un jeune chrétien du nom de Jean-Luc m’a dit: moi je crois que cela doit se passer comme dans la Bible et je lui ai dit: vas-y Jean-Luc fais ce que tu penses et il s’est levé, m’a regardé droit dans les yeux, il a pris ma main et me tirant, il m’a dit lève-toi au nom de Jésus. À ce moment-là je me suis mis debout, plus aucune douleur, je venais de vivre un miracle. Nous avons pu continuer à travailler, je n’avais plus de douleur, Jésus m’avait vraiment guéri. AMEN !

Ce garçon Jean-Luc, n’était chrétien que depuis quelques mois, il n’avait aucune connaissance théologique, il s’était converti, avait lu la Bible et il avait vu que Jésus guérissait simplement, il n’a pas prié longtemps la prière de l’incrédulité, il a fait exactement ce qu’il avait lu dans l’évangile. Au malade Jésus disait: ta foi t’a sauvée, ta foi t’a guérie, lève-toi prends ton lit, ouvre-toi dit-il à l’aveugle. Je crois que nous passons trop de temps dans les prières, essayant de bien les formuler, mais un mot suffit s’il est empreint de confiance en Dieu, un mot de la foi suffit ! Soyez encouragé, soyez simple, confiant que notre Dieu agit de la même manière qu’autrefois.

C’est l’acte de la foi que Dieu attend. On ne mesure pas la foi à la longueur de la prière ou à la doctrine biblique sans omission.

Un de mes amis a rencontré un frère et s’entretenant avec lui il découvrit que ce frère avait un problème qu’on appelle TOC, il se lavait continuellement les mains, et là dans un café mon ami lui dit: Je peux prier pour toi si tu veux pour que tu sois libre. Il fut d’accord et là, devant la tasse de café, il lui dit simplement: “Sois libre de l’esprit qui te fait laver les mains” je crois même qu’il l’a dit encore plus simplement.

C’est la foi qui change les choses.

En Arménie nous étions en train de boire un verre dans un café quand un homme est entré, il était plié en deux, visiblement un problème avec le dos, il faisait pitié à voir. Je dis à mon amie: Demande-lui s’il veut que Dieu le guérisse, elle lui parla en arménien et étonné de notre question, il dit quand-même oui, et là devant une vingtaine de personnes nous avons prié pour lui et je lui dis: ”Au nom de Jésus, sois guéri», tout d’un coup il se redressa, vit avec étonnement le regard des gens autour de lui, nous regarda surpris comme s’il était dans l’irréel, il sortit du café, il était guéri.

Faîtes les actes de la foi, n’ayez pas de crainte, Dieu répond. Dieu aime guérir comme il y a 2000 ans par Jésus puis par les apôtres et maintenant par les chrétiens.

Avançons dans la foi,  Jean

Le Nouvel Homme

Comment ne plus vivre dans l’échec par rapport à mon caractère insupportable ? Mes agissements ne sont pas du tout celui d’un chrétien, comment changer ? Comment se revêtir chaque jour de la victoire ? Finalement comment changer de vie ?

Ce sont ces questions qui minent la pensée de beaucoup dans le peuple de Dieu. Sans réponse précise, quelques-uns abandonnent la foi, se découragent et vivent une vie de tristesses et de luttes incessantes ou même une vie d’hypocrisie.

La parole nous a été donnée pour nous conduire à une victoire totale, dans un article nommé : « Ce n’est que le vieil homme. » Je vous invite à le lire, il est décrit ce qu’est mon ancienne nature qui ne peut obtenir aucune victoire. Aujourd’hui je souhaite continuer cet article par ce que la bible appelle : « Le nouvel homme » Toute  victoire vient de ce que CHRIST a accompli, toute la parole de Dieu nous conduit dans la révélation de ce que Jésus a fait pour les hommes. Accepter par la foi ce qui a déjà été accompli est le seul chemin de toutes victoires.

Prenons ce passage merveilleux de Éphésiens 4 v.22 « … vous avez été instruit à vous dépouiller du vieil homme… à vous renouveler dans votre mentalité, dans votre compréhension par l’action du Saint-Esprit en vous et à vous revêtir du nouvel homme qui a été créé par Dieu à sa propre image… »

Le chemin de la victoire passe par trois étapes :

1- se dépouiller,
2- se renouveler,
3- se revêtir.
  1. Le mot dépouiller est très significatif, il veut dire : Priver une personne de ce qui lui appartient, cela peut être physique, moral ou matériel ; Par exemple : un serpent se dépouille de sa peau chaque année, le soldat peut être dépouillé de ses biens étant mort sur le champ de bataille.
    Reniant par la foi, cette ancienne nature en moi, je me dépouille de ce qui la caractérisait. Ce n’est que le vieil homme. 
  2. Il me faut être renouvelé dans mes pensées, connaître cette nouvelle nature que Dieu a créé et qu’il met devant moi afin que je la saisisse par la foi. Cette parole de Dieu me régénère, elle accomplit une œuvre et sépare ce qui est faux dans mes pensées, elle met en lumière tout ce que Jésus a fait pour moi, elle crée la foi et l’assurance que la puissance est en Dieu. 1 Pierre 1 verset 23
  3. Se revêtir est ce que le chrétien oublie de faire le plus souvent. Il se repent de ses péchés, il passe du temps devant Dieu, cherche Sa volonté mais il entreprend lui-même un travail de changement comme pour arracher ce qui est collé à sa peau, mais en vain car il s’aperçoit comme dit le proverbe : « Chasse le naturel et il revient au galop. »
    Se revêtir est un acte de foi : Je suis convaincu que le seigneur a préparé cet homme nouveau pour que chaque chrétien, par un simple acte de foi, hérite de son héritage. Beaucoup de prédications mettent en avant de devoir être digne de Jésus, de marcher dans ses pas, de se sanctifier, de se purifier……. Ils prêchent la loi, mais la loi ne change personne. Paul dit : Ô Galates insensés  qui vous a ensorcelé… vous avez commencé par la foi et vous continuez par la loi… Galates 3 v1 à 5. Je suis  aussi tombé dans ce travers, jusqu’au jour où par la grâce de Dieu, j’ai compris que tout avait été accompli par Jésus et qu’il suffisait de le prendre par la foi.

Paul va encore plus loin en disant : … Revêtez-vous de miséricorde, de bonté, d’humilité, de douceur, de patience, d’amour. Colossiens 3 v.12 à 14.

Il est donc très clair que le chrétien sous la loi ne peut pas changer, le seul moyen c’est de croire en la parole de Dieu et au moment même où  je suis impatient de prendre avec foi  cet habit qui s’appelle «  patience de Dieu » de le poser sur moi et de vivre libre et heureux. La loi a été accomplie par Jésus.

Je vis désormais dans la foi au fils de Dieu…

Jean ,  Avançons dans la foi

Le but du commandement

Il m’a été fait la grâce une fois dans ma vie de voir l’immense amour de Dieu.

Jésus enseignant ses disciples leur  répondit : « Tu aimeras le seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta pensée… Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes. »

Paul dit dans 1 Corinthiens 13  « Maintenant trois choses demeurent La foi, l’espérance et l’amour mais la plus grande des trois c’est l’amour. » Il dit également dans 1 Timothée 1v 5  « Le but du commandement c’est l’amour. »  Si nous connaissions l’amour du Père pour nous, nous comprendrions la grande compassion du Seigneur pour les rebelles, les incroyants les enfants perdus et nous nous jugerions nous-mêmes au lieu de juger nos frères et même nos ennemis.

Il m’a été fait la grâce une fois dans ma vie de voir cet amour. Voici l’histoire : J’avais des collègues de travail qui me jugeaient et étaient méprisants envers moi et ma foi en Jésus-Christ. Ils sont devenus un véritable problème  pour moi et j’avais vraiment du mal à les aimer comme nous le demande le Seigneur. C’était le dernier jour de travail avec eux car j’étais muté dans une autre ville et je disais au revoir en serrant la main sincèrement à l’un d’eux, quand je reçus en mon cœur comment Dieu aimait cet homme, cet amour est indescriptible en patience, en tendresse, un amour qui ne regarde pas le péché mais l’homme perdu, l’enfant chéri qui s’égare loin dans les ténèbres. J’ai vu que quand Dieu regarde un homme, il n’a pas en mémoire la somme de tous ses péchés, il le voit juste comme un de ses enfants, même si cet enfant persécute un chrétien, le Seigneur ne prend pas parti pour le persécuté mais il aime sans condition d’un amour qui n’a rien de commun avec l’amour naturel. En un instant, j’étais rempli de compassion ne voyant qu’au travers de l’amour  de Dieu, je ne pouvais plus retenir mes larmes devant cet immense amour comme emporté malgré moi dans cet océan d’amour. Je le quittais pour aller pleurer dans un endroit où personne ne pouvait m’entendre et me voir. Puis je revins, serrai rapidement la main d’autres collègues et je rentrai chez moi, mais dans la voiture cette vision de l’amour de Dieu me remplit de nouveau et là, devant mes yeux, d’autres visages apparurent et la même chose se reproduisit, le même pardon, la même compassion pour des gens qui me critiquaient, me jugeaient. Je n’avais plus d’ennemis, que des gens que j’aimais avec l’amour de Christ. On peut dire que c’est comme un fleuve qui nous emporte.

 

 

 

Aujourd’hui j’ai encore besoin de ce toucher de Dieu ; de notre cœur il ne peut sortir un amour semblable, c’est uniquement dans la vie de Dieu, communiquée par son Esprit que se manifeste ce grand amour. L’apôtre Jean dit : « Celui qui aime connaît Dieu » Moïse dit : « fais-moi voir ta gloire et Dieu lui répond : « Je ferai passer devant toi toute ma bonté » Exode 33 v 1819

Le commandement est juste et saint, mais ce n’est pas le commandement qui me remplira de cet amour pour mon semblable, j’ai besoin d’aller à la source de cet amour et d’être rempli par cette eau vivante. Allons boire à cette source, c’est gratuit. Paul prie pour les Ephésiens en ces termes : « Que vous puissiez comprendre avec tous les saints quelle est la largeur, la longueur, la profondeur, la hauteur et connaître l’amour de Christ… »

Dieu peut le faire, avançons dans la foi qu’il le fera pour nous, cherchons le avec foi, croyons qu’il nous révèlera et nous remplira de cet amour. Il le fera !

Jean     Avançons dans la foi

Victoire sur la crainte

La crainte et l’angoisse saisissent le cœur du chrétien et il a l’impression que toute sa vie va s’écrouler, c’est comme un étau qui lui sert le cœur, ses pensées sont tellement dominées qu’elles sont prises dans un tourbillon sans fin. L’inquiétude le ronge. Où est la sortie ?
Nous avons dans les Psaumes toutes les pensées et les états de l’homme qui marche avec Dieu.
David déclare dans le Psaume 27 v 1 L’Éternel est ma lumière et ma délivrance de qui aurais-je peur ?
Il dit aussi dans le Psaume 91 v 2 Je dis : L’Éternel mon refuge, ma forteresse, mon appui.

Il ose dire une chose incroyable : Quand une armée viendrait pour m’anéantir, mon cœur ne craindrait point. Ps 27 v 3. Comment peut-on avoir une telle confiance quand on sait que l’on peut mourir là maintenant ? Quand l’angoisse nous domine, c’est que nous sommes devant un immense mur infranchissable, que nous allons mourir et que désespérément nous cherchons la solution pour ne pas mourir. Nous voulons nous sauver avec nos propres forces, cela peut être pour notre santé, nos enfants, notre conjoint, notre travail, nos difficultés…………. Se sauver soi-même, voilà le problème !

David exprime l’état de son cœur quand il dit : Quand une armée viendrait pour m’anéantir, mon cœur ne craindrait point. Il ne cherche pas à obtenir la victoire sur ses craintes, il a la victoire et son cœur est en paix. Cette victoire, il la puise dans sa relation avec Dieu, il l’exprime ainsi :
Ma lumière, ma délivrance, mon appui, mon rempart, mon refuge, ma forteresse, ce sont des mots qui pour lui expriment un sens très profond qu’il a tiré d’un endroit où il est allé ou plutôt où il va chaque jour de sa vie.

Dans le Ps 27 v 4 David nous révèle cet endroit : J’ai demandé une seule chose à l’Éternel et je la rechercherai, c’est d’habiter dans la maison de l’Éternel tous les jours de ma vie, pour contempler la beauté de l’Éternel et pour admirer son temple. Et dans le Ps 91 v 1 David dit la même chose avec des mots différents : Celui qui habite dans la retraite secrète du Très-Haut repose à l’ombre du Tout-Puissant. Et si nous lisons la suite de ces 2 psaumes nous pouvons comprendre que c’est là le secret de sa paix.

La crainte et l’angoisse ne pourront te retrouver dans ce lieu secret. Dieu dit : « qu’il te cachera dans sa demeure, que tu seras à l’abri du mauvais jour, qu’il t’élèvera lui-même au-dessus de tes difficultés comme sur un rocher. »

La seule condition, c’est d’habiter dans sa maison, arrête de te battre avec tes forces. Tes pensées seront vaincues aujourd’hui et demain elles reviendront encore plus fortes, c’est épuisant de combattre, il y a un lieu de paix et là personne ne peut te trouver.

David voulait par-dessus tout contempler la beauté de son Dieu, visiter et admirer les créations de Dieu remplissant son palais. Il voulait avoir la lumière de Dieu sur sa vie, sur ses chemins et voir comment Dieu voit lui-même les choses dans la foi. Dieu voit les difficultés par la foi et c’est dans sa présence qu’il nous communique cette lumière, cette foi. C’est uniquement par sa lumière que je suis éclairé pour ma vie et par elle la foi naît dans mon cœur.

Souvent Il m’est arrivé de ne plus savoir ce que je devais faire ; Un matin je suis allé dans sa présence et Dieu a éclairé mon chemin, il m’a donné un verset de sa parole qui ne semblait pas répondre directement à ma question, mais cette parole est entrée dans mon cœur et m’a envahi de paix, la crainte a disparu, comme la lumière du jour chasse les ténèbres de la nuit.

Accepte qu’il soit, lui, ton gardien. Va journellement dans le lieu de sa présence.

Avançons dans la foi
Jean

La rancune

Nous sommes confrontés journellement au problème de la rancune, nous avons été offensés comme nous offensons aussi  les autres sans même nous en rendre compte. Jésus ne nous enseigne pas comme étant des victimes mais comme étant responsable de notre jardin intérieur, un jardin secret que personne ne voit sinon le Saint-Esprit vivant dans notre cœur. Père pardonne nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensé.

Comment avoir la victoire sur la rancune ?

Il faudrait déjà classer cette rancune ou amertume dans la catégorie qui lui revient et non dans la catégorie des souffrances, celles que provoque un frère, un parent, un ami….. Je la classerai dans la catégorie « Péché »

Alors en lisant l’épître aux Romains chapitre 6 nous pouvons remplacer le mot péché par « Rancune » et nous voyons s‘éclairer certains passages qui deviennent alors très précis et personnels, par exemple :

Romains 6/2 : Nous qui sommes mort à la rancune comment vivrions nous encore dans la rancune.
Romains 6/7 : Celui qui est mort est libre de la rancune.
Romains 6/11 : Regardez-vous comme mort à la rancune et comme vivant dans l’amour pour Dieu en Jésus-Christ.
Romains 6/12 : Que la rancune ne règne pas dans votre intelligence et ne lui obéissez pas.

Et je terminerai cette liste par la prière et le cri de victoire de Paul et de chaque chrétien :

« Qui me délivrera de la puissance de cette rancune,
Gloire soit à JÉSUS-CHRIST »

En effet lui seul me délivre par le moyen de la foi en sa puissance.
Romains 7/24

Le seul qui n’a pas eu de rancune c’est Jésus et quand je pense à sa vie en face de tous ses ennemis et même de ses proches, je vois qu’il n’était pas le centre de ses préoccupations, de ses désirs, mais que « son prochain » est le centre de toutes ses prières, de ses paroles, de ses actes. Il a même été jusqu’à dire « Père pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font ». Jésus n’attendait pas de justice pour lui-même, il n’attendait pas d’amour, le salut et le bien de l’Autre était son seul désir.

Dans Romains 8/6 il est dit : « l’affection de moi-même me conduit à la mort » Sommes-nous d’accord avec Dieu ?

Acceptons-nous de nous décentrer de nous-même et de considérer notre vis-à-vis selon l’amour que Dieu lui porte ? Nous offensons de mille manières et lorsque quelqu’un nous blesse, nous ne lui pardonnons pas, et si nous lui pardonnons, il reste un souvenir. Est-ce que dans mon jardin secret, il reste encore des pierres (rancunes) ou d’autres mauvaises racines d’amertumes ?

Dans ce merveilleux message de la lettre aux Corinthiens chapitre 13 v 5, Dieu nous révèle la victoire.

« L’amour ne cherche pas son intérêt »

 Si nous commençons à comprendre cette nouvelle route pour notre vie et si nous nous laissons conduire dans l’obéissance, le changement deviendra très rapide, nos blessures vont guérir, notre amour va devenir chaleureux et sincère, nos prières vont être des bénédictions sur la tête de notre prochain et le livre de nos reproches va être effacé.

Nous sommes disciples de Jésus, pour marcher derrière lui. Fais maintenant si tu veux, cette courte prière :

« Seigneur, je pardonne à celui (celle) qui m’a blessé, moi aussi j’ai blessé et je te demande pardon. Je vais aujourd’hui commencer à le bénir pour son salut, pour qu’il (elle) soit béni(e) dans toute sa vie, je ne veux plus chercher mon intérêt mais le sien et je crois que tu changes mon cœur aujourd’hui à partir de cet instant. Merci mon sauveur. »

Avançons dans la foi

Jean

Elle le coucha dans la mangeoire !

Nous trouvons dans l’évangile de Luc cette histoire tellement connue de la naissance de Jésus, le fils de Dieu, et ce mot qui passe comme un détail mais pour moi aujourd’hui ce n’est plus un détail !

1 En ce temps-là parut un édit de César Auguste, ordonnant un recensement de toute la terre.
2 Ce premier recensement eut lieu pendant que Quirinus était gouverneur de Syrie.
3
Tous allaient se faire inscrire, chacun dans sa ville.
4
Joseph aussi monta de la Galilée, de la ville de Nazareth, pour se rendre en Judée, dans la ville de David, appelée Bethlehem, parce qu’il était de la maison et de la famille de David, 
5
afin de se faire inscrire avec Marie, sa fiancée, qui était enceinte.
6 Pendant qu’ils étaient là, le temps où Marie devait accoucher arriva,
7 et elle enfanta son fils premier-né. Elle l’emmaillota, et le coucha dans une crèche (mangeoire), parce qu’il n’y avait pas de place pour eux dans l’hôtellerie. Luc  chapitre 2

Ce mot qui me touche profondément  c’est : une « crèche »

 La crèche est une mangeoire pour les moutons.  Il n’y avait plus de place dans un hôtel pour le fils de Dieu, ni pour sa mère, ni pour son père. Ils ont dû trouver une étable et là, dans le foin, le fils de Dieu envoyé pour sauver l’humanité est né, sans richesse ni confort. Dans sa sagesse Le Père l’a voulu ainsi comme un signe de la nature de ce fils. J’aurais aimé être là ! Ce qui est touchant c’est l’humilité de Dieu, il est le créateur de toutes choses et c’est dans une étable pour les moutons, qu’il manifeste son plan glorieux. C’est  à des bergers dans les champs qu’il annonce ce glorieux salut, des gens humbles, pauvres et sans grande éducation.

Jésus s’appelle le Bon Berger, à maintes reprises dans toute la Bible, Dieu se manifeste comme le berger, déjà d’Israël son peuple, puis des chrétiens son peule et là, il est dans la mangeoire, ce petit garçon, là où viennent manger les brebis, il est là comme leur nourriture future, leur manne, leur pain, leur eau vive. Ce passage de LUC est tellement prophétique quant à la destinée de Jésus le Sauveur. Plongeons nos yeux au-dessus de ce lieu si humble comme le firent les anges !

Les anges sont venus trouver les bergers, pourquoi pas d’autres personnes comme : des religieux ou des magistrats, ou le maire de la ville…. Non, des bergers comme leur annonçant : voici Le Berger votre berger, celui qui prendra soin de vous. Ils furent les premiers à annoncer le salut de Dieu au peuple, imaginez, dans chaque maison de Bethléem on parlait  des anges qui avaient loué Dieu de ces chants merveilleux venus du ciel et de ce bébé et on se réjouissait que tous les péchés serraient pardonnés et  effacés.

Alléluia signifie, Gloire à Dieu

Cette nuit-là tout le ciel s’est mis à chanter « Comme Dieu est grand, car dans son amour il a envoyé ce bébé qui deviendra le sauveur de tout homme perdu »

 

Toi aussi, maintenant, tu peux louer Dieu pour son salut pour toi et pour sa nature!

Avançons dans la foi

 Jean

Donne-moi le volant !

Donne-moi le volant !

Beaucoup connaissent ce passage de l’écriture: Déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, car lui-même prend soin de vous. 1 Pierre  chapitre 5 verset 7. J’ai tellement entendu ce verset et j’y crois vraiment mais j’ai perdu le : « comment le vivre au quotidien. »

Est-ce vraiment la volonté de Dieu que nous ne portions aucun fardeau ? Oui c’est son plan d’amour pour tous ces enfants qui veulent bien mettre leur confiance en lui, leur Père céleste. Il est dit dans la lettre aux Hébreux « Efforçons nous d’entrer dans son repos » il y a donc cette invitation pressante de notre Dieu de venir à lui pour recevoir le repos de nos âmes mais aussi de notre corps et de toutes choses.

Un frère a partagé cette histoire :

 

Cette illustration est tellement parlante et nous montre que la paix et le repos ne peuvent venir que si Jésus dirige toute notre vie à sa manière. Nos pensées, notre compréhension des choses de la vie ne sont pas les pensées  de Dieu. Il faut que lui ait la liberté de nous conduire selon ses plans.

Suite à ce message, un repos est venu en moi par rapport aux affaires de la vie que nous vivons tous journellement.

Je me trouvais chez un loueur de voiture, pour des raisons professionnelles j’avais impérativement besoin d’une voiture Électrique que j’avais réservé un mois auparavant. Mais la voiture n’était pas là, le loueur téléphone à la personne qui devait la ramener, mais en vain. Je priais en moi-même en disant au seigneur «  Seigneur c’est toi qui conduit ma voiture (vie), moi je suis sur la banquette arrière » Puis je dis « Ecoutez, je m’en vais, quand la voiture sera là, téléphonez-moi, je reviendrai »  Et je sors pour repartir chez moi, à peine j’étais dehors que le loueur sort et me dit « on a réussi à le contacter, elle sera là dans 15 min »

Super, elle arrive ! Mais il y avait un problème de carrosserie abimée, tout le monde s’affairait  autour de cette voiture. Ah, peut-être qu’ils ne pourront plus me la louer ? Bon, « eh bien Seigneur, moi  je reste sur la banquette à l’arrière et toi t’es au volant » Quelques minutes après, je partais au volant de cette voiture électrique !

N’est-il pas merveilleux de s’abandonner à la seule personne qui cherche notre bien, notre croissance et notre foi.

« Efforcez-vous d’entrer dans son repos »  Ce témoignage a trait aux choses quotidiennes de la vie mais cette attitude devrait être apprise pour tous nos soucis, nos prières, notre besoin spirituel…. Et c’est possible !

Avançons dans la foi,

Jean

Toi qui es éprouvé

Nous croyons souvent, que lorsque nous souffrons, c’est que Dieu est contre nous, nous reprochant telle ou telle chose de notre vie. Les premières pensées qui nous viennent à l’esprit sont souvent : Qu’ai-je fais ? Qu’est-ce qui ne va pas dans ma vie ? Pourquoi Dieu me punit-il ? On s’examine sous tous  les aspects cherchant la désobéissance, le péché le manque de foi. Pour résumer nous sommes en face d’un Dieu qui n’est à ce moment-là pas un père pour nous, ni notre sauveur mais un Dieu qui punit.

Comment voyons-nous la correction ? Est-ce un acte dur, impitoyable, dénué d’amour paternel ?

Lisons dans ZACHARIE au chapitre 13 versets 7 à 9

7 Épée, lève-toi sur mon pasteur Et sur l’homme qui est mon compagnon! Dit l’Éternel des armées. Frappe le pasteur, et que les brebis se dispersent! Et je tournerai ma main vers les faibles.
8 Dans tout le pays, dit l’Éternel, Les deux tiers seront exterminés, périront, Et l’autre tiers restera.
9 Je mettrai ce tiers dans le feu, Et je le purifierai comme on purifie l’argent, Je l’éprouverai comme on éprouve l’or. Il invoquera mon nom, et je l’exaucerai; Je dirai: C’est mon peuple! Et il dira: L’Éternel est mon Dieu!

Dans ce passage nous voyons que Le Père condamne son fils Jésus (son pasteur, son compagnon) lorsqu’il a été crucifié. Non pas pour punir Jésus mais pour qu’il devienne le sauveur des enfants perdus. Par amour pour nous, il met sur Jésus le poids de tous nos péchés.

Historiquement, 70 ans après la crucifixion, Titus qui deviendra empereur romain, fit le siège de Jérusalem, une grande partie du peuple juif mourut et le reste vécu là et en déportation.

Quand Dieu dit : « Je mettrai ce tiers dans le feu, Et je le purifierai comme on purifie l’argent, Je l’éprouverai comme on éprouve l’or. »  Nous ne voyons pas la finalité de cette épreuve, nous éprouvons de la souffrance, nous sommes dans le noir, nous ne comprenons pas ce qui nous arrive et un sentiment d’abandon gagne notre cœur et nos pensées. Il n’y a que Jésus qui ait subi l’abandon et il l’a dit à la croix : « Père pourquoi m’as-tu abandonné ? »

Dans le Psaume 23 nous pouvons lire « Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, Je ne crains aucun mal, car tu es avec moi: Ta houlette et ton bâton me rassurent. »
Tu es avec moi, oui Le Seigneur est avec toi, pas contre toi, et la personne qui sortira de cette épreuve, sera à la ressemblance de Jésus.

Quand  l’or ou l’argent sont chauffés à des températures très élevées,  ces métaux perdent de leur impureté et peuvent être utilisés pour de beaux bijoux. C’est ça le but de l’affinage, nous rendre parfait, beaux, doux, humble, dépendant du Père, ayant foi en Dieu et non plus en nous-même….

Notre Père céleste n’agit pas par sentimentalisme, il agit pour notre bien, nous sommes errants à cause de nos désobéissances, lui, veut nous rapprocher de lui, pour nous combler, nous exaucer.

« Ceux-là invoqueront mon nom et je les exaucerai »

La finalité se trouve là : « ils diront L’Éternel mon DIEU »

Un père qui cherche ses enfants et ceux-ci le reconnaissant et lui montrant leur attachement et leur amour. Ne vaut-il pas la peine d’être purifié ? De perdre nos folies ou nos illusions ?

OUI, je le veux ! Je ne vois que de l’amour dans cette œuvre de Dieu en moi !

Jean,    Avançons dans la foi

 

Pardonné et Sauvé

Beaucoup connaissent le récit de la crucifixion de Jésus, aujourd’hui, j’aimerai relever comment un meurtrier, un malfaiteur a été sauvé.

Tous le peuple et les dirigeants qui assistaient à cette mort atroce se moquaient et injuriaient cet homme sur la croix, Jésus, ils injuriaient un innocent et ne s’occupaient pas des deux meurtriers  de part et d’autre de Jésus. Luc 23 v 33 à 38

Lisez maintenant  dans Luc 23 ce qui s’est passé entre ces deux brigands :

39 Et l’un des malfaiteurs qui étaient pendus à la croix l’injuriait, disant : N’es-tu pas le Christ, toi ? Sauve-toi toi-même, et nous aussi.
40 Mais l’autre, répondant, le reprit, disant : Et tu ne crains pas Dieu, toi, car tu es sous la même condamnation ?
41 Et pour nous, ce n’est que justice ; car nous recevons ce que méritent les choses que nous avons commises : mais celui-ci n’a rien fait de mal.

42 Et il disait à Jésus : Souviens-toi de moi, Seigneur, quand tu viendras dans ton royaume.
43 Et Jésus lui dit : En vérité, je te dis : Aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis.

Le deuxième malfaiteur avait conscience qu’il allait mourir à cause de ses mauvaises actions, il dit clairement que c’est juste, parce qu’il a tué quelqu’un et il mérite ce châtiment. Il sait que Dieu est au-dessus de toute sa vie et il ne lui reproche rien, il comprend la justice divine et se soumet. Il prend la défense de cet homme à côté de lui, mais comment a-t-il pu voir en Jésus le Roi, alors qu’il voit de ses yeux un homme aussi faible que lui devant cette horrible mort ?

Ce qui est étonnant, c’est que ce meurtrier ait à ce moment la révélation que Jésus Christ  est vraiment Roi de ce royaume céleste et invisible  pour ses yeux. Il voit ce Jésus entrain d’agoniser, dans quelques heures cet homme va mourir.

Mais son cœur était repentant et Dieu lui a révélé que le sauveur était là juste à côté de lui, soufrant en silence les moqueries et d’atroces souffrances. Il n’y a que Dieu qui puisse révéler le salut et le pardon des péchés. Il s’adresse alors à Jésus devant la foule et les soldats et lui dit : « Souviens-toi de moi, Seigneur, quand tu viendras dans ton royaume. » Le cœur repentant peut saisir le salut par la foi, car c’est Dieu qui lui donne la foi, cet homme ne pouvait se racheter, il ne pouvait pas ressusciter celui qu’il a tué, il est venu au sauveur sans rien dans les mains, aucune œuvre bonne, rien que sa foi. Il n’a même pas fait une belle prière, il n’a pas donné d’argent, il n’a pas fait de belles promesses, rien…

Et Jésus lui répond : «  Aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis. »

Merveilleux sauveur, là sur cette croix, tu as accompli jusqu’au dernier souffle, ce pourquoi ton Père t’a envoyé !

Ce brigand est devenu chrétien, parce qu’il a eu la foi que Jésus est le Roi de ce royaume céleste, envoyé par le Père pour sauver tous les pêcheurs.

Et toi ! crois-tu que Jésus est le sauveur ? Crois-tu que maintenant en allant à lui tu seras sauvé de tes péchés, qu’ils seront instantanément effacés ?  Sans rien payer ?

Juste par son amour, imagine que c’est toi le brigand ! le pêcheur, le mauvais garçon, la mauvaise fille, approche toi de Jésus, il te dira : « Aujourd’hui tu es pardonné et sauvé, Je te donne une nouvelle vie »

Avançons dans la foi    Jean

En continuant à utiliser le site, vous acceptez implicitement l’utilisation des cookies. Plus d’informations

Les paramètres des cookies sur ce site sont définis sur « accepter les cookies » pour vous offrir la meilleure expérience de navigation possible. Si vous continuez à utiliser ce site sans changer vos paramètres de cookies ou si vous cliquez sur "Accepter" ci-dessous, vous consentez à cela.

Fermer