Je m’appelle Malika, je suis chrétienne et j’ai eu une sinusite. Plusieurs chrétiennes ont prié pour moi, pour ma guérison.
Ensuite je suis partie travailler pour la journée, mais la douleur ne passait pas. J’ai commencé à parler à Dieu et à lui demander :
Seigneur ! Pourquoi je ne suis pas guérie ?
Presque tout de suite, j’ai pensé à Jésus tenté dans le désert et à un livre dont le titre est « le flacon du médicament de Dieu ».
Je suis rentrée chez moi et j’ai ouvert ma Bible à l’endroit où il y avait le passage sur Jésus dans le désert (Mathieu 4 versets 1à 11) où Jésus répond au diable « il est écrit » et je me suis souvenue que dans le livre « le flacon du médicament de Dieu », l’auteur encourage le chrétien :
« à se saisir des promesses de Dieu comme d’un médicament ! »
Je comprends alors que Dieu me parle et m’encourage à résister au diable avec les promesses de sa parole ! Mais le mal n’a pas cessé mais empiré et je disais à haute voix et le répétais :
Il est écrit que je suis guérie par le sang de Jésus, alors toi douleur tu t’en vas ! Une première fois vers 9h du matin, au bout d’une heure environ peut-être plus, je sentais que la parole de Dieu devenait vivante, le malin revenait à la charge pour me dire que je n’ai pas la guérison.
Mais j’ai continué à confesser à haute voix jusqu’au milieu de l’après-midi dans mon travail (je travaille chez les personnes âgées), j’ai continué et j’étais avec une personne âgée et la douleur essayait de revenir et je disais :
Je t’ai dit de t’en aller, car il est écrit… Et la dame qui était avec moi m’a dit « Qu’est-ce que vous avez dit ? » Et moi de lui répondre « Rien Madame, je prends mon médicament » ! La douleur est devenue de moins en moins forte et ne montait plus jusqu’au niveau du nez. J’ai pris la parole de Dieu comme un médicament, à chaque douleur et elle est partie vers 17h.
Au début je disais ces paroles de Dieu sans grande conviction mais plus je confessais la vérité, plus cela devenait vérité en moi ! La parole de DIEU prenait place en mon cœur et me donnait de plus en plus de conviction.
MALIKA